“Mais à l’applaudimètre, c’est Nicola Alaimo qui, dans la partie de Stankar, remporte le plus éclatant succès de la soirée. On ne sait en effet qu’admirer le plus chez le baryton italien: l’émail du timbre, la beauté de la ligne ou encore son legato exemplaire, qui font merveille dans le superbe air du III («Lina, pensai che un angelo»), lui valant une ovation méritée de la part du public.”
click here
Emmanuel Andrieu, concertonet.com
“Nicola Alaimo, voix fleurie de baryton belcantiste comme on en fait plus, flexible, pathétique sans pathos, sombre et sobre à la fois, passe du fa grave au sol bécarre, à l’aise Blaise, comme une bigote qui va gober une hostie à la messe du dimanche.”
click here
podcastjournal.net