L'artiste de Venise est considérée comme l'une des rares contraltos
d'aujourd'hui. Le mythe de l'amour éternel trouve dans son interprétation une
version chaleureuse, sans pathos, loin pourtant de la furieuse secousse dont
parlait Berlioz grâce à qui l'ouvre de Gluck avait été reconstituée en
1859.
(Marja Jurkowska, Chroniques, Maggio 2003)
La magnifique contralto vénitienne Sara Mingardo (l'une des rares
interprètes actuelles à chanter dans cette tessiture) entièrement habitée
par son rôle d'Orfeo.
(Ouest France, 15 Maggio 2003)
Sara Mingardo, exceptionnelle (.) quelle voix, quelle présence! Une
contralto de cette nature est une chose rare et précieuse. Elle allie